La loire, un poème

La Loire en Touraine, majestueuse et fière,
S'écoule en serpentant à travers la contrée,
Ses flots cristallins reflètent la lumière,
Et charment les cœurs de leur douce clarté.

Ses rives verdoyantes offrent un spectacle,
De vignes, de châteaux et de petits villages,
Où l'art de vivre se décline en mille spectacles,
Et la gastronomie enivre tous les gourmands.

Les ponts de pierre, les écluses et les moulins,
Rythment le cours tranquille de ce fleuve majestueux,
Qui caresse les terres avec douceur et malice,
Et nourrit les fruits de l'abondance sans fin.

La Loire en Touraine, c'est un hymne à la vie,
Un élixir de bonheur pour les âmes en quête,
D'une sérénité pure et sans ambages,
Dans un écrin de verdure, de culture et de beauté.

Haiku

Eau cristalline,
La Loire s'écoule en douceur,
Pureté divine.

Vignobles dorés,
Châteaux et rivières d'eau vive,
Touraine éternelle.

La loire en volutes

Touraine, belle province de France,
Que Ronsard a chanté en maintes strophes,
Tes paysages sont une romance,
Où chaque saison est une étoffe.

Tes vignobles sont des tapisseries,
De couleurs vives et de senteurs fines,
Tes forêts sont des galeries,
Où le cerf roi règne sans rapines.

Sur les bords de ta chère Loire,
Le soleil embrase les collines,
Et les châteaux sont des miroirs,
Où se reflètent les eaux cristallines.

Les jardins à la française sont tes joyaux,
Où les fleurs rivalisent de beauté,
Et où le vert est roi de tes châteaux,
Où l'on s'éprend de mille voluptés.

Tes villes ont des architectures,
D'un temps passé, mais toujours vivaces,
Et tes villages ont des sculptures,
D'une simplicité pleine de grâces.

Amboise, Tours, Chinon, Loches,
Des noms qui résonnent comme des trésors,
Et qui te donnent des airs de noblesse,
Et de grandeur qui dure encor.

Ronsard a dit de toi mille éloges,
Et je ne peux que lui donner raison,
Ta beauté est telle qu'elle émerge,
De ton terroir et de ta passion.

Touraine, belle province de France,
Tu es une muse pour les poètes,
Et ton charme nous donne l'envie intense,
De venir te visiter, ô merveilleuse fête.